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Promo !
ART – L’Enfant Intérieur – Photo & Peinture
ART – L’Enfant Intérieur – Photo & Peinture
Le prix initial était : 1500,00€.1000,00€Le prix actuel est : 1000,00€.
Photo par vanessamoselle X Peinture réalisée par Raphaël FEDERICI
signé
Dimensions : 30 x 30
EXCLUSIF !!!!
Suite au succès rencontré par cette collaboration lors de l’exposition “L’Enfant Intérieur” à PARIS en 2020, vanessamoselle et Raphaël FEDERICI, vous re-proposent cette offre UNIQUE.
Les photos seront réalisées par vanessamoselle.
Raphaël FEDERICI les peindra.
L’ENFANT INTERIEUR
Comment deux artistes revisitent avec des styles et des moyens différents leur propre vision du monde qui les entoure par le prisme de leur enfant intérieur. Deux humanistes ne supportant pas les injustices et souhaitant délivrer leurs messages à travers leur âme d’enfant, notamment en cette période de crise sanitaire.
Vanessa MOSELLE : « A travers mes clichés, je me bats en grande idéaliste pour un monde meilleur. L’enfance et la défense de l’enfance en sont des caractéristiques intrinsèques. Mes travaux sont toujours emprunts de références liés à cette période de la vie. Ces deux derniers mois, j’ai beaucoup pensé aux enfants et au monde que nous allons leur laisser. Mais aussi aux ainés ne méritant pas de vivre cette « crise » sanitaire actuelle. Ce monde a toujours été souffrant. A nous de semer et de disperser le bonheur. A nous d’apporter notre pierre à l’édifice. Revenir aux vraies valeurs : la famille, nos proches. A nous de sourire. A nous de donner sans rien attendre en retour. A nous de ne pas juger ! Certes nous restons de simples humains imparfaits. Mais il est de notre responsabilité de transmettre les vraies valeurs à nos petits, à nos jeunes et de se battre pacifiquement pour le bien de notre planète et de l’humanité. A nous de les respecter, de les écouter et de leur donner la parole. Les enfants et les adolescents encore imprégnés de rêves et d’idéaux, restent ma plus grande inspiration. Ne nous laissons pas formater. Restons libres ! Libres de dire, de penser, de s’instruire.
Cette enfance espiègle, d’allure mutine, semblait durant ce confinement comme ensommeillée, emmitouflée, telles des petites personnalités fragiles et en manque de repère.
L’enfant ne se sent jamais aussi « vivant » qu’en étant privé de liberté d’expression, de mouvement.
Ce confinement exprime un état d’âme indéfinissable, une tristesse éthérée qui contamine autant l’enfant que l’adulte, emportés par une vague de mélancolie évanescente.
Raphaël FEDERICI : « Pour moi être un artiste c’est être un enfant qui n’a jamais grandi. Toujours m’amuser. Mais en grandissant, j’ai eu le besoin de me connecter aux autres et de délivrer des messages d’éveil, alors je fais ce que n’importe quel enfant ferait : attirer l’attention d’un autre enfant par le jeu et la créativité. Autant parler de la petite enfance, de ce qui nous rapproche tous, de nos souvenirs, notre madeleine de Proust, nos jeux, nos rêves et la façon dont on se voyait adulte. C’est aussi une façon de constater la différence entre les lois naturelles de l’enfant (ce à quoi on aspire tous) et les chances que l’on a d’y arriver dans le monde dans lequel nous vivons. Je trouvais intéressant de me servir du rêve des enfants et de leur univers gorgé d’imagination afin de les mettre en contraste avec ce que le monde attend d’eux, dès leur plus jeune âge. Soit : obéir, servir et devenir un bon citoyen.
Le confinement va à l’inverse de ce que l’enfant est, par nature. L’enfant touche, court, joue, dépasse ses limites, tout ce qui est contraire des gestes barrières. En même temps ce confinement met chacun d’entre nous, adulte comme enfant, face à ses propres choix. Obéir et rester sagement enfermé, ou faire preuve d’imagination, et se libérer de l’autorité, et exprimer les pleines capacités de l’enfant. Je fais l’analogie avec la petite enfance qui s’inscrit dans l’obéissance ou dans l’émancipation. »